Mugimendu ekologista ainitz, Greenpeace buru, planeta salbatzeko tokiko mailan aritzerat bultzatzen gaituzte. Orain dela guti irakurritako artikulu hori Ipar poloko izotz geruzaren urtzeaz ari da, eta “mugi zaitezte” dio. Horrelako ainitz badire. Orain dela guti Deun lagunak zion bezala, hitz gutitan gauza ainitz biltzen dituzten bere esaldien batean : “Ez da oso begirunezkoa norbait planetari begirunea izaterat behartzea, begirune hau menperatzen ez ditugun bainan isilarazi nahi gaituzten emaitza zientifikotan oinarritzen delarik”.
Urrun gertatzen denaz ohartzea ez da txarra. Bainan mail globalean pentsatzea, tokian aritzeko, funts gutikoa da. Asmo on batetik etortzen da zihur aski, bainan egiten dudana ez dut planetaren egoerari lotu nahi, tona bilioikan zenbatzen diren gauzak ezin baititut hauteman, ezta ere horien gain izaten ahal dudan ekimena. Planetaren mailan izanen dudan eragina gogoan izanez aritzeak ezintasunerat edo abstrakzio hutserat bideratuko nau, eta gehienetan bietarat.
Abstrakzio huts adibidea, ea ekohiritar zintzo bat naizen jakinarazten dautana, nere aztarna ekologikoa da. Ea nere eguneroko ekimenak, nere etxebizitza eta nere elikadura planetaren baliabideen ez-agortzearekin bat dauden ala ez jakinaratzen daut, eta aztarna ttiki bat izateko oso harro egiten nau, edo aldiz haundiegi bat izateko lotsati, eta Jasangarritasunaren Sainduari bere barkamena eskatarazi.
Bizi baldintzak ateratzen ditugun baliabideekiko loturak zenbaki soil batean laburbiltzen ditu aztarna horrek. Mail globalean oinarritutako gogoetak tokiko mailan aplikatzen ditu, eta adibidez haragi eta esneki ainitz jaten dituen norbait, bere etxe inguruan dituen larreetan bizi diren abereetatik hartuak (larre horiek bertze erabilerarik ez luketelarik), eta eguerdiro hamburgestegi batean jaten duen bertze norbait, hainbertze elikagai animal jateagatik antzeko “elikadura aztarna” bat izaten ahalko dute, elikatzen dituzten baliabideekiko harremanak zerikusirik gabe izanez. “Bai noski bainan aztarna kalkulatzeko bakoitzaren berezitasun guziak ezin dire kontutan hartu” erran daiteke. Hain zuzen, hori ez zait gustatzen kalkulu hortan. Aztarna horrek planetaren mailan baizik ez du zentzurik (interesatzen zaienentzat), bainan ez norberaren mailan, uniformizatzaile bihurtuz, bizitzaren aniztasunari, eta inguratzen gaituzten ekosistemekin harreman finak izateko ahalmenari kasurik ez eginez. Aztarna hori den bezala mail batetik bertzerat pasatuz, harekin lotua garen ingurunea urrun atxikitzen dugu, horrekiko harremanak ezagutzeko erabiltzen dugun kalkulu baten bidez, eta itsu bezala aritzen gare, abstrakzioz hauteman baizik ezin dugun planetazko krisi baten aintzinean.
Hautemateen bidez zentzua dugula uste dut (Augustin Berque ari den bezala), eta Anton Txekhoven esaldi batetaz oroitzen naiz : ironiaz begiratzen nauzue, erraten dautzuetan guzia atzeratu eta zintzotasun gutikoa iduritzen zaizue, bainan moztetik salbatu dudan oihan batetik hurbil ibilki naizenean, edo nere eskuz landatutako baso gazte bat xuxurlatzen entzuten dutanean, klima bera pixkat jabetzen dutala sumatzen dut.
Empreinte
Beaucoup de mouvements écolos, Greenpeace en tête, nous enjoignent à agir local pour sauver la planète.
Un article que j’ai lu récemment parle de la fonte de la calotte du pôle Nord et dit “bougez-vous le cul”. Des comme ça il y en a plein. Comme le disait récemment Deun dans une de ses phrases qui résument beaucoup de choses en peu de mots : “Ce n’est pas forcément respectueux d’autrui que de l’obliger à respecter une planète, ce respect étant lui-même largement défini à partir de compte-rendus scientifiques qui nous échappent, mais qui sont censés nous clouer le bec.”
Être renseigné sur des choses qui se passent loin n’est pas un mal. Mais penser global pour agir local, ça gonfle. Je ne doute pas que cela parte d’une bonne intention, mais je refuse de relier l’état de la planète avec ce que je fais, car les choses qui se chiffrent en milliards de tonnes sont des choses que je ne peux pas percevoir, et sur lesquelles mon action ne m’est pas perceptible. Agir en pensant à mon impact sur ces problèmes à l’échelle planétaire me conduira soit à l’impuissance, soit à rester dans l’abstraction pure, et bien souvent les deux.
Exemple d’abstraction pure, me permettant de savoir si je suis un honnête écocitoyen, c’est mon empreinte écologique individuelle. Elle me permet de savoir si mes activités quotidiennes, mon habitation et ma nourriture sont compatibles avec le non-épuisement des ressources de la planète, puis d’être super fier d’avoir une petite empreinte, ou au contraire de culpabiliser d’en avoir une trop grande puis de faire une action carbone pour expier mes péchés.
Cette empreinte réduit à un simple nombre nos liens avec les ressources dont on tire notre subsistance. Elle applique à l’échelle locale des considérations tirées d’un constat global, et par exemple quelqu’un qui mange beaucoup de viande et de produits laitiers issus des bêtes qu’il a sur des pâturages extensifs situés autour de chez lui (pâturages qui auraient difficilement un autre usage), et quelqu’un qui mange tous les midis dans un fast food, auront peut-être de par leur consommation de produits animaux une “empreinte alimentaire” proche, avec des rapports complètement différents aux ressources qui les nourrissent. “Oui mais bon on ne peut pas prendre en compte toutes les particularités de chacun pour calculer son empreinte”, pourrait-on dire. C’est justement ça que je n’aime pas dans ce calcul. Cette empreinte n’a de sens qu’à l’échelle planétaire (pour ceux que ça intéresse), mais aucun sens à l’échelle individuelle où elle devient uniformisante, ne faisant pas cas de la diversité de la vie et de la variété des possibilités de vivre intelligemment avec les écosystèmes qui nous environnent. En transposant cette empreinte telle quelle d’une échelle à l’autre, on maintient à distance l’environnement avec lequel on est lié, à travers un calcul auquel on se réfère pour juger de nos interactions avec cet environnement, et on agit en aveugle face à une crise planétaire qu’on ne peut percevoir autrement que par des vues de l’esprit.
Je crois plutôt que c’est par les sens que nous avons du sens (comme le dit Augustin Berque), et je me rappelle d’une phrase d’Anton Tchekhov : Vous me regardez avec ironie, tout ce que je vous dis vous semble périmé et peu sérieux, mais quand je passe à proximité d’une forêt que j’ai sauvée du déboisement, ou encore quand j’entends bruire un jeune bois que j’ai planté de mes propres mains, je sens que le climat lui-même est un peu en mon pouvoir.
C.H. a travaillé les esprits en profondeur…
En l’occurence c’est plutôt Deun, qui exprime souvent avec une grande clarté des intuitions non mises en mots que j’ai depuis longtemps.
La clarté de C.H. m’est encore assez obscure, comme aurait pu le dire Corneille.
Si pour un individu certaines règles grammaticales sont absconses*, il lui est possible de parodier la phrase de Deun: “Ce n’est pas forcément respectueux d’autrui que de l’obliger à respecter la grammaire, ce respect étant lui-même largement défini à partir de réflexions d’académiciens qui nous échappent, mais qui sont censées nous clouer le bec.”
*abscons (utilisé pour clouer le bec au lecteur) = difficilement compréhensible
La méthode pouvant être déclinée“à l’infini”: il n’y a plus aucun respect dans ce bas monde…
“les choses qui se chiffrent en milliards de tonnes sont des choses que je ne peux pas percevoir, et sur lesquelles mon action ne m’est pas perceptible”
Avec ce genre de raisonnement qui tend à disqualifier toute action qui ne nous est pas perceptible, il n’y a plus de raison d’aller voter (qu’y a-t-il de plus imperceptible que la voix d’un électeur perdue au milieu de millions d’autres…) et autant aller à la pêche…
“quelqu’un qui mange beaucoup de viande et de produits laitiers issus des bêtes qu’il a sur des pâturages extensifs situés autour de chez lui (pâturages qui auraient difficilement un autre usage), et quelqu’un qui mange tous les midis dans un fast food, auront peut-être de par leur consommation de produits animaux une “empreinte alimentaire” proche, avec des rapports complètement différents aux ressources qui les nourrissent”
Cet exemple est peut-être probant pour son auteur, mais pas pour un écologiste végétarien qui considère que produire et consommer de la viande est un gâchis énorme, car avec la même superficie on peut produire des céréales qui nourriront beaucoup plus d’humains…
Mais soyons beau joueur, comme il est précisé que “les pâturages auraient difficilement un autre usage” et admettons que cet exemple prouve que l’empreinte écologique “ne fait pas cas de la diversité…”.
La belle affaire: il vient d’être mis en évidence qu’un indice est réducteur, ce qu’on savait déjà depuis fort longtemps…
Quand on cite l’indice de fécondité du Niger en 2007 (7,1 enfants par femme), on ne voit pas que cela va de zéro à plus de 13… Et pourtant cet indice permet de classer les pays selon leur fécondité et de faire apparaître que le Niger est en tête…
D’ailleurs bien souvent, pour éviter ce caractère simplificateur, on utilise plusieurs indices… Qu’attend notre auteur pour en imaginer un autre qui pondérera le précédent?
Il ne s’agit pas de disqualifier toute action dont tous les tenants et aboutissants ne sont pas perceptibles, mais de réfléchir justement sur la problématique d’échelle, qui est amplement ignorée dans le discours environnementaliste actuel, et cet “angle mort” joue plutôt en la défaveur des problèmes environnementaux.
L’exemple de la grammaire est différent, car la grammaire a trait au langage, et le langage est typiquement une chose sur laquelle tout un chacun peut avoir prise, c’est d’ailleurs ainsi que les langues évoluent, se diversifient, ou périclitent.
Concernant les problèmes environnementaux, on peut essayer de convaincre à l’aide de données chiffrées et de discours globaux incitatifs ou bien moralisateurs, on peut également considérer que c’est par les sens que nous avons du sens (à ce sujet je vous invite à lire le lien au sujet d’Augustin Berque mentionné dans le billet), et que ce qu’on perçoit physiquement peut modifier la façon dont on envisage les choses et la façon dont on agit, de façon bien plus profonde que des abstractions ne peuvent le faire. Abstractions qui n’en sont pas toujours, aux endroits et aux échelles auxquelles elles ont lieu, mais qui en sont ailleurs, c’est là leur faiblesse. Et je pense qu’avant de dire aux gens d’agir parce-qu’une calotte glaciaire qu’ils ne peuvent qu’imaginer est en train de fondre (ce qui n’est bien sûr pas à minimiser) il y a beaucoup d’autres choses à faire, et que s’occuper élégamment de son bout de terre (et voir comment il interagit avec le reste) ouvre plus de perspectives que de ressentir sa propre impuissance face à la déforestation de l’Amazonie (qui n’est bien sûr pas à minimiser non plus, je précise au cas-où).
J’ai une bien plus grande satisfaction à voir pousser les haies que je plante, à y voir des choses apparaître et se diversifier, et à voir la façon dont elles modifient le milieu alentour, qu’à lire des articles catastrophistes sur l’état de la biosphère. Curieusement, j’ai remarqué qu’autour de moi bon nombre de gens peuvent s’intéresser aux équilibres écologiques (et agir en conséquence chacun dans leur milieu et à leur façon) quand on leur en fait observer, alors que quand on leur dit que les ours polaires disparaissent ils disent juste “qu’y puis-je?”.
il vient d’être mis en évidence qu’un indice est réducteur, ce qu’on savait déjà depuis fort longtemps…
Sauf qu’à partir de ce constat on prend rarement, pour ne pas dire jamais, les précautions d’usage des choses réductrices, c’est bien là le problème.
Qu’attend notre auteur pour en imaginer un autre qui pondérera le précédent?
Je ne trouverais cela ni très passionnant ni très utile.
Intéressant plaidoyer pour une écologie de proximité en zone rurale et auquel je souscris totalement.
Mais j’y vois une limites “de taille”: la grande majorité de nos concitoyens vivent en ville et toutes ces belles choses leur sont plus ou moins étrangères.
Le réchauffement climatique, bien réel au niveau de la planète, ne nous est pas vraiment perceptible (si ce n’est par la canicule de 2003, mais ce phénomène à lui seul ne prouve rien), or c’est particulièrement ce réchauffement qui justifie les campagnes d’économies d’énergie actuelles (et en légitimerait bien d‘autres qui ne sont malheureusement pas mises en oeuvre car elles s‘opposent aux intérêts de lobbies ou parce que nos dirigeants manquent de courage politique).
Mais alors, comment inciter les gens à agir écologiquement et donc, entre autre, à utiliser les transports en commun, à trier leurs déchets, à moins chauffer leur appartement? Actuellement, “on” les informe des effets négatifs ou catastrophiques observés: entre autre la fonte de la banquise, la disparition progressive des ours polaires.
Je reconnais que cette manière de faire a son revers: certaines personnes se sentent impuissantes.
Et donc toute autre suggestion pour sensibiliser les citadins sera la bienvenue…
Sur la “petite” planète où nous vivons (petite au regard du nombre de ses habitants), il ne faut pas attendre que les phénomènes de dégradation environnementaux soient perceptibles en tous lieux, car alors il sera trop tard pour agir.
Mais j’y vois une limite “de taille”: la grande majorité de nos concitoyens vivent en ville et toutes ces belles choses leur sont plus ou moins étrangères.
Pour moi cela fait partie des causes du problème, qu’on peut pour une bonne part d’entre elles regrouper sous le terme de délégation. Tant que tous ces gens délègueront, bien souvent sans en comprendre les tenants et aboutissants, la maîtrise des conditions de leur subsistance (ne serait-ce que la production et l’acheminement de leur nourriture), je vois mal le problème faire autre-chose que perdurer. Sans une réappropriation des conditions de notre subsistance il sera très difficile de retrouver des équilibres écologiques rompus, cela demandera des expertises très pointues dont découleront des règles que tout un chacun ne comprendra ou n’acceptera pas forcément. Alors qu’au travers de cette réappropriation on perçoit physiquement les déséquilibres existant dans le milieu qui nous environne, et on éprouve d’autant mieux la nécessité d’y remédier.
Bien sûr il y a des choses qu’on ne maîtrisera jamais (les aléas météo par exemple). Bien sûr cela n’est pas désirable pour tout le monde, et ce simple fait peut déjà créer des limites dans une démarche de réappropriation. Bien sûr un citadin pur jus ne peut pas devenir un paysan 100% autosuffisant en quelques mois. Mais entre déléguer certaines choses non-vitales, et tout déléguer, il y a quand-même une grosse marge que d’après moi il s’agit de réduire. Tel que je vois les choses c’est vers cette réappropriation qu’il faut tendre, sinon le maintien de la délégation de tout, combiné à la poursuite des déséquilibres écologiques actuels, nous mènera nécessairement à une dictature écolo, dont rien ne dit qu’elle serait efficace en termes de soutenabilité globale, en revanche elle le serait certainement en déshumanisation globale.
Malheureusement, la délégation est inscrite dans l’histoire de l’humanité car les connaissances tendent vers l’infini…
Je ne sais pas comment fonctionne une voiture, un téléphone, un ordinateur: je ne sais que résoudre des problèmes de mathématiques!
Par contre une culture de base, une ouverture sur le monde, de l’humanisme et un peu de bon sens suffisent à être un citoyen actif et responsable.
Et le “citoyen du monde” que je suis s’intéresse au problème de la croissance démographique. C’est d’ailleurs par le forum de décroissance.infos que j’ai eu le lien vers ton site.
Actuellement j’interviens aussi sur celui-ci:
http://forum.afrik.com/index.php?topic=59.0
Bien à toi,
Malheureusement, la délégation est inscrite dans l’histoire de l’humanité car les connaissances tendent vers l’infini…
Je ne saisis pas clairement le lien entre connaissances et délégation.
C’est vrai que la délégation existe depuis longtemps, au moins depuis que les villes existent et que les gens des villes mangent des grains produits à l’extérieur. Une des causes de l’effondrement de l’empire romain a été la dégradation des sols cultivés et les baisses de productivité qui se sont ensuivies.
Par contre une culture de base, une ouverture sur le monde, de l’humanisme et un peu de bon sens suffisent à être un citoyen actif et responsable.
Ça fait beaucoup de conditions. En fait être un “citoyen du monde” passe par des abstractions, et c’est une faiblesse difficilement résolvable.
Là où ça peut être une bonne chose c’est par exemple pour quelqu’un qui fait des recherches par lui-même, qui lit, qui compare, qui s’interroge, qui reste critique etc. bref quand la réflexion, tout en se basant quand-même sur des abstractions (c’est à dire en étant hors des milieux physiques qui nous intéressent), est menée de façon autonome (autonome et non autarcique, la différence entre les deux étant que dans l’autonomie on est conscient de ses dépendances et on les choisit en connaissance de cause).
Mais ça peut être une faiblesse car les abstractions peuvent être utilisées maladroitement, ou à mauvais escient. Maladroitement, c’est à dire en partant d’une bonne intention (convaincre les gens d’agir pour telle ou telle chose) mais n’aboutissant pas au résultat voulu, souvent par manque d’adaptation aux personnes à qui on s’adresse. À mauvais escient, c’est à dire en utilisant ces abstractions pour contraindre ou manipuler des populations entières, et c’est là que je verrais un risque de dictature écolo.
Il y a la délégation des conditions de notre subsistance, il y a aussi la délégation du savoir et de la réflexion. À défaut d’éviter totalement la première, évitons la seconde.
[…] actuelle n’appelle comme solution que la limitation (volontaire ou obligatoire) de notre “empreinte” environnementale et la sanctuarisation de la “nature” où on n’aurait plus le droit de mettre les […]
[…] pas leur place. Or “la fin est dans les moyens” comme disait Gandhi. – Et puis, comme disait Deun, parce-que ce n’est pas forcément respectueux d’autrui que de l’obliger à […]
[…] la stimule. Quant à notre “empreinte” alimentaire, c’est bien d’y penser sans mélanger échelle globale et échelle locale. Des initiatives plus nombreuses relevant d’une recherche positive de résilience aideraient […]
[…] suis tombé sur quelques entretiens intéressants avec Augustin Berque (dont je parlais ici https://lezd.wordpress.com/2008/05/16/aztarna/ et que j’ai découvert il y a quelques années sur le site de Mona Chollet), qui poussent les […]